L’agriculture sénégalais a besoin d’être réformée
par l’action combinée des décideurs politiques et des organisations de
producteurs qui ‘’doivent s’approprier toutes les techniques d’évolution et
d’anticipation du développement’’, a-t-il déclaré dans des propos rapportés par
le numéro d’avril du mensuel Agri Info.
Selon le dernier Premier ministre du président Abdou Diouf (1981-2000), le développement de l’agriculture implique la prise en compte de changements intervenus dans l’environnement
de cette activité, dans les comportements des producteurs, en particulier dans la manière de cultiver, de récolter, etc.
‘’Il faut pouvoir trouver ce changement partout et en faire un élément d’orientation. C’est en effet la transformation qui conditionne le développement’’, a encore soutenu Mamadou Lamine Loum, selon qui, l’agriculture sénégalaise doit rompre avec l’image d’une activité ‘’dégradée’’, ‘’archaïque’’, qui ‘’a les pieds dans le passé’’.
Aussi, a-t-il demandé aux producteurs de projeter des ‘’modèles gagnants’’ d’exploitations familiales existantes dans les différentes régions, pour qu’ils fassent tache d’huile. Cela ‘’pourrait pousser les jeunes à aimer et à pratiquer l’agriculture, parce qu’elle rapporte, nourrit et fait vivre dignement sa famille’’, a-t-il dit.
Selon le dernier Premier ministre du président Abdou Diouf (1981-2000), le développement de l’agriculture implique la prise en compte de changements intervenus dans l’environnement
de cette activité, dans les comportements des producteurs, en particulier dans la manière de cultiver, de récolter, etc.
‘’Il faut pouvoir trouver ce changement partout et en faire un élément d’orientation. C’est en effet la transformation qui conditionne le développement’’, a encore soutenu Mamadou Lamine Loum, selon qui, l’agriculture sénégalaise doit rompre avec l’image d’une activité ‘’dégradée’’, ‘’archaïque’’, qui ‘’a les pieds dans le passé’’.
Aussi, a-t-il demandé aux producteurs de projeter des ‘’modèles gagnants’’ d’exploitations familiales existantes dans les différentes régions, pour qu’ils fassent tache d’huile. Cela ‘’pourrait pousser les jeunes à aimer et à pratiquer l’agriculture, parce qu’elle rapporte, nourrit et fait vivre dignement sa famille’’, a-t-il dit.
BK/ASG/DND
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