tag:blogger.com,1999:blog-86076408585141376342024-02-18T20:56:10.754-08:00AGRICULTURE AU SENEGALL'essentiel de l'actualités agricoles du SénégalAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.comBlogger271125tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-7768037944503351272016-12-21T03:43:00.002-08:002016-12-21T03:43:35.506-08:00Le ministre sénégalais de l’Agriculture Seck élu à l’Académie d’agriculture de FranceLe ministre de l’Agriculture du Sénégal, Papa Abdoulaye Seck a été élu à l’Académie d’agriculture de France.<br /><br />Fondée en 1761 par Louis XV, l’Académie d’agriculture de France, a pour « mission de contribuer, dans les domaines scientifique, technique, économique, juridique, social et culturel à l’évolution de l’agriculture et du monde rural ».<br /><br />L’Académie compte 120 membres titulaires de nationalité française, 60 membres associés étrangers 120 membres correspondants de nationalité française et 60 correspondants associés étrangers.<br /><br />Papa Abdoulaye SECK est également membre titulaire de l’Académie des sciences du Sénégal, de l’Académie africaine des sciences et de l’Académie mondiale des sciences/sciences agricoles. Il est aussi Chevalier de la Légion d’Honneur française pour son engagement en faveur de l’agriculture ; Chevalier de l’Ordre du Mérite Agricole de France pour des services marquants rendus à l’agriculture ; Chevalier de l’Ordre du Lion et Officier de l’Ordre du Mérite du Sénégal. Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-70084012739091331372016-12-21T03:41:00.005-08:002016-12-21T03:41:55.405-08:00Ameth Amar : « L’agriculture reste l’un des piliers de l’économie sénégalaise, même si, aujourd’hui, on parle beaucoup du pétrole. »<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<a href="http://www.leral.net/photo/art/default/10808941-17855367.jpg?v=1482152150" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://www.leral.net/photo/art/default/10808941-17855367.jpg?v=1482152150" height="206" width="320" /></a></div>
Son groupe s’est diversifié, avec la fabrication de pâtes alimentaires (marque Pastami) et d’aliments pour volaille et bétail, domaine dans lequel il s’est allié avec le français Sanders (filiale du groupe Avril, ex-Sofiprotéol) et dont il tire 40 % de ses revenus. Il pose un regard sans concession sur les défis auxquels le secteur privé reste confronté et sur le rôle qu’il doit jouer dans le cadre du Plan Sénégal émergent (PSE).<br />
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Jeune Afrique : Le secteur privé local joue-t-il pleinement son rôle dans le Plan Sénégal émergent, en particulier dans son volet agricole ?<br />
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Ameth Amar : Pas encore. Mais je pense qu’il a l’obligation de le faire, parce que l’agriculture reste l’un des piliers de l’économie sénégalaise, même si, aujourd’hui, on parle beaucoup du pétrole. L’État est en train de faire ce qu’il peut pour impliquer davantage le secteur privé, mais il y a encore beaucoup d’efforts à fournir.<br />
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Le gouvernement et les acteurs du privé ont déjà tenu des ateliers en ce sens, dont on attend les conclusions. C’est souvent un peu lent, mais je suis convaincu que nous finirons par trouver la bonne solution. En attendant, certaines conditions sont déjà réunies : les terres, la consommation et les marchés sont là. Reste à produire et à vendre. À condition, bien sûr, de disposer des moyens nécessaires.<br />
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Pouvez-vous nous donner un exemple concret d’investissement ?<br />
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Prenons le dossier que je maîtrise le mieux, celui de NMA. Avec le Fonds de garantie des investissements prioritaires (Fongip), le groupe français Avril et l’entreprise marocaine Zalar, nous avons créé une société pour l’exploitation de terres près du lac de Guiers, dans la vallée du fleuve Sénégal. Nous y cultivons des produits bio pour Sanders, partenaire traditionnel de NMA et actionnaire dans le projet. Nous allons aussi y produire du maïs pour NMA. C’est un partenariat public-privé très important, dont l’investissement global est de 6 millions d’euros.<br />
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Le problème est que beaucoup d’opérateurs privés n’ont pas les moyens nécessaires et ne sont pas solvables. Les projets viables ne sont donc pas nombreux. C’est d’ailleurs inquiétant, car les investisseurs étrangers viennent avec beaucoup de moyens sur le continent. Et si les Africains, eux, n’ont pas les moyens d’investir, on risque d’assister à une « recolonisation économique ». Voici un exemple : vous ne voyez presque plus de sociétés sénégalaises opérer sur le port de Dakar.<br />
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Au môle 8, vous trouvez DP World [Dubai Port World] et le français Necotrans ; au môle 2, son compatriote Bolloré… Pourtant, beaucoup de sociétés sénégalaises opèrent dans le maritime, mais elles n’ont pas les reins suffisamment solides sur le plan financier.<br />
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Si les les Africaines n’ont pas les moyens d’investir , on risque d’assister à une « recolonisation économique »<br />
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Quelles solutions préconisez-vous ?<br />
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Nous devons faire des regroupements stratégiques, même si, en général, les entrepreneurs africains ne sont pas à l’aise dans ce genre de structures. Ensuite, les banques doivent faire confiance aux opérateurs. De toute façon, avec l’arrivée massive de fonds d’investissement sur le continent, elles n’auront plus le choix. Grâce aux emprunts obligataires, on constate d’ailleurs que les États lèvent eux-mêmes de plus en plus de fonds à meilleur marché et plus facilement.<br />
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La polémique autour de l’élection du président de la chambre de commerce et d’industrie de Dakar est-elle révélatrice du manque de cohésion au sein du secteur privé ?<br />
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Le regretté Mamadou Lamine Niang [président de l’organisme consulaire, décédé en juillet] a fait tout ce qui était en son pouvoir pour résoudre d’interminables conflits pendant son deuxième mandat, en vain. Mais on ne peut pas s’éterniser dans cette impasse qui dure depuis cinq ans. Il faut revoir la représentativité des uns et des autres et procéder à des élections transparentes.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-38481207050852634802016-10-19T03:58:00.001-07:002016-10-19T03:58:31.109-07:00MACKY SALL VA VISITER DES CHAMPS ET DES PISTES DE PRODUCTIONle President de la République, Macky Sall va, au cours de sa tournée économique à vocation agricole prévue dans les régions de Kaolack et Kaffrine les 17 et 18 octobre 2016, visiter, mercredi, les sites de production de la Fédération des producteurs de maïs du Saloum (FEBROMAS) situés dans la commune de Taïba Niassène, selon un communiqué de presse de la Présidence. Après Taïba Niassène, le chef de l’Etat visitera les périmètres de production de Fanding Ndiaye, sis dans la localité de Tanda Mboudaye, dans la commune de Keur Baka et les parcelles de riz pluvial de l’association Pencum Ndiognick appuyée dans le cadre de ses activités par le PAFA.Dans le département de Kaolack, poursuit le communiqué, le chef de l’Etat s’arrêtera sur l’exploitation agricole de 120 hectares d’arachide, de 30 ha de maïs et de 60 ha de mil du marabout de Serigne Moussa Mbacké Nawel.Au deuxième jour de sa tournée économique, le président est attendu, dans la région de Kaffrine plus précisément à Diakhao Saloum où il va visiter une parcelle d’arachide de 30 hectares et l’équipement motorisé du groupement de Ndoumbé Dia regroupant 21 producteurs dont 10 femmes. Ce groupement bénéficie du soutien de l’Etat, signale le texte. M. Sall va poursuivre sa tournée dans le Ndoucoumane par la visite d’un champ de riz du groupement des producteurs de Toune Mosquée, une localité située dans la commune de Kahi, avant de se rendre à Missirah Wadéne où il va visiter la retenue d’eau pour riziculture réalisée par le PASA à Mbaye-Mbaye. "Au niveau de la région de Kaffrine le président va terminer ses visites par le département de Koungheul où Macky Sall va s’enquérir du niveau d’exécution la piste Koungheul-Maka Ngouye réalisée par le PUDC", renseigne le communique de presse.Après son séjour de deux jours à Kaolack et Kaffrine, le chef de l’Etat se rendra à Tambacounda où il terminera le 20 octobre sa tournée économique à vocation agricole.<br />
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Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-46292706111684045102016-10-17T06:11:00.001-07:002016-10-17T06:11:58.012-07:00Journée mondiale de l’alimentation : La 36ème édition célébrée à Bambilor Après Matam l’année dernière, l’édition 2016 de la journée mondiale de l’alimentation, qui porte sur le thème « Le climat change, l’alimentation et l’agriculture aussi », sera célébrée le 17 octobre prochain dans la commune de Bambilor. Cet événement, co-organisé par le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural et l’Organisation des nations unie pour l’alimentation et l’agriculture (Fao), en partenariat avec le ministère de l’Environnement et du Développement durable et le Programme alimentaire mondial (Pam), sera présidé par le ministre Papa Abdoulaye Seck.<br />
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A l’instar de la communauté internationale, le Sénégal célébrera, le 17 octobre prochain, à Bambilor, la 36ème édition de la Journée mondiale de l’Alimentation sur le thème : « Le climat change, l’alimentation et l’agriculture aussi ». Cette présente édition se tient avant la prochaine conférence des nations unies sur les changements climatiques (Cop 22), prévue du 7 au 18 novembre 2016, à Marrakech au Maroc. Elle sera co-organisée par le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural et l’Organisation des nations unie pour l’alimentation et l’agriculture (Fao), en partenariat avec le Programme alimentaire mondial (Pam).<br />
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Cet événement sera présidé par le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Papa Abdoulaye Seck et son homologue de l’Environnement et du Développement durable, Abdoulaye Baldé, en présence du représentant de la Fao au Sénégal et du Pam, entre autres partenaires, a indiqué le président du Comite national d’organisation Ousmane Sané. L’évènement sera précédé le 14 octobre, à Bambilor, d’une sensibilisation sur la nutrition et l’hygiène alimentaire et d’une conférence scientifique sur un certains nombre de thèmes, liés au défis agricole et alimentaire face aux changements climatiques, le 15 octobre, à Rufisque.<br />
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Ousmane Sène estime que le Sénégal a fait beaucoup d’efforts dans la production agricole grâce à des programmes d’adaptation, de dopage et de sécurisation, initiés depuis 2014 et qui ont permis de booster la croissance économique du pays l’année dernière. Selon l’assistant au représentant de la Fao, chargé de Programmes, Cheikh Guèye, en choisissant le thème : «Le climat change, l’alimentation et l’agriculture aussi », la communauté internationale entend souligner le fait que l’alimentation et l’agriculture doivent s’adapter au changement climatique, si l’on veut nourrir, de manière durable, la population mondiale qui ne cesse de croître.<br />
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D’après lui, le Sénégal a mis l’accent sur la maîtrise de l’eau, les aménagements hydro-agricoles dans les vallées et les bas fonds. Il a indiqué que ces aménagements hydro-agricoles, les digues anti-sel dans la région de Fatick, par exemple, contribuent à l’augmentation de la production agricole.<br />
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Le représentant résident du Pam au Sénégal, Guy Mesmin Adoua Oyila a mis l’accent sur l’importance des mesures d’accompagnement pour accroître la production au Sénégal. « Il faut, dit-il, produire en quantité, mais aussi il faut créer des banques de stockage et des stocks de sécurité pour assurer la sécurité alimentaire ».<br />
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Mamadou SY<br />
le SoleilAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-44647608025258353052016-09-30T03:54:00.000-07:002016-09-30T03:54:08.072-07:00Bientôt une Chambre d’agriculture pour le développement ruralPour mieux porter le développement rural, l’État travaille à la création d’une Chambres d’agriculture du Sénégal (CAS). C’est ce qu’à annoncé le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Papa Abdoulaye Seck, le weekend dernier à Saly Portudal, en marge d’un atelier de synthèse des contributions régionales et de proposition d’axes d’orientation des projets de textes législatifs et réglementaires.<br /><br />Cette future chambre d’agriculture s’inscrit dans le cadre de la volonté des autorités du Sénégal de construire une nouvelle agriculture, conformément à la vision stratégique du Plan Sénégal Emergent (PSE).<br />Selon le ministre de l’agriculture, « on ne peut pas construire une nouvelle agriculture sans l’émergence de nouveaux acteurs qui doivent être mieux formés, mieux informés et mieux organisés, à qui on offre un cadre permettant une mutualisation des moyens, des efforts et des intelligences, en vue de d’optimiser les performances du secteur agricole sénégalais ».<br />L’union nationale des chambres de commerce, d’industrie et d’agriculture du Sénégal (UNCCIAS) approuve cette volonté de l’État de créer cette CAS mais appelle les autorités à associer tous les acteurs agricoles. « Qu’aujourd’hui que nous savons que le gouvernement veut créer cette chambre dans le but de renforcer le secteur agricole, tout le monde est maintenant d’accord. Mais, il faut y associer les vrais acteurs agricoles », a dit Serigne Mboup, Président de l’UNCCIAS.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-71725225223735288762016-09-26T03:54:00.003-07:002016-09-26T03:54:44.168-07:00Atelier de validation du Processus de création des Chambres d’Agriculture du SénégalUn atelier de synthèse des contributions et de proposition d’axes d’orientation des projets de textes législatifs et réglementaires <br /><br />Le Ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural, à travers le secrétariat d’Etat à l’Accompagnement et à la Mutualisation des organisations paysannes, tient, à partir de ce samedi 24 septembre, un atelier de synthèse et de validation des contributions régionales au processus de réflexion et de création des Chambres d’Agriculture du Sénégal. <br /><br />D’éminentes personnalités telles que Dr Papa Abdoulaye Seck, Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, et ses collègues du Gouvernement en charge de l’Elevage et des Productions animales, de l’Environnement et du Développement durable, de la Pêche et de l’Economie maritime vont prendre part à cette importante rencontre aux côtés de Monsieur Moustapha Lô Diatta, Secrétaire d’Etat à l’Accompagnement et à la Mutualisation des Organisations paysannes et du représentant du Premier Ministre, et ce, en présence des représentants des organisations paysannes, des organisations de filières et des différents ministères concernés. <br /><br />Rappelons que la création de ces Chambres d’Agriculture répond à une exigence du monde rural et à la mise en œuvre du Pracas (Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise), volet agricole du PSE (Plan Sénégal Emergent) et s’inscrit dans une nouvelle dynamique structurelle des organisations paysannes en vue d’une amélioration de la situation économique et sociale des acteurs ruraux. <br /><br /> Au cours des travaux d’atelier, les participants vont échanger, discuter de façon inclusive sur les contributions régionales en vue de les valider, faire une analyse et une synthèse complètes des thématiques de groupe de travail, formuler des axes d’orientation des textes législatifs et réglementaires avant de procéder à la validation, en plénière, du rapport général de l’atelier.<div>
Source: Dakar Actu</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-64268921777697413782016-09-22T02:25:00.001-07:002016-09-22T02:25:30.937-07:00Sénégal /Pakistan : Les axes de la nouvelle coopération<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://www.vipeoples.net/photo/art/grande/9892777-16016752.jpg?v=1469094855" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://www.vipeoples.net/photo/art/grande/9892777-16016752.jpg?v=1469094855" height="308" width="400" /></a></div>
<b>Le Président Macky Sall revient du Pakistan avec plein d’engagements du gouvernement du Premier ministre Muhammad Nawaz Sharif en faveur du Sénégal. Les deux hommes d’État ont en effet convenu de renforcer la coopération de leurs deux pays dans divers domaines tels que la défense, le commerce, l’investissement, l’agriculture et l’éducation.</b><br />Le leader pakistanais a déclaré à « Radio Pakistan », la radio d’Etat de son pays, qu’en plus des échanges dans des domaines incluant des produits tels que les textiles, les produits pharmaceutiques et le riz, « le Pakistan va désormais s’ouvrir au Sénégal sur les questions relatives à la coopération dans le domaine militaire et la défense ». C’est ainsi que « le Pakistan a offert de coopérer avec le Sénégal dans l’échange de renseignements, le contrôle du trafic humain et de la drogue ainsi que le renforcement des capacités des forces de sécurité sénégalaise dans la lutte contre le terrorisme ».<br /><br />Toujours dans son compte rendu à « Radio Pakistan », Muhammad Nawaz Sharif a aussi indiqué que la coopération entre les deux pays sera notamment axée sur l’industrie légère mais aussi l’agriculture, la science et la technologie. Le Pakistan veut ainsi apporter un soutien technique au Sénégal pour la création d’usines de production de sucre et de ciment. Et Muhammad Nawaz Sharif d’ajouter que ‘’son pays peut également exporter du cuir et de la cordonnerie, ainsi que des produits d’ingénierie légers et des engins agricoles au Sénégal’’.<br /><br />En plus de la proposition d’ouverture d’une banque pakistanaise au Sénégal, « le Pakistan va offrir des bourses d’études à des étudiants sénégalais dans divers domaines enseignés par des institutions prestigieuses ». Le Premier ministre pakistanais s’est enfin félicité de la décision du Sénégal d’ouvrir une ambassade à Islamabad.<br /><br />Le Sénégal et le Pakistan ont décidé de tenir au premier trimestre 2017 une commission mixte qui va matérialiser cette nouvelle feuille de route de la coopération entre les deux pays. Le président Macky Sall et sa délégation ont été les hôtes à dîner du président de l’Assemblée nationale du Pakistan, Ayaz Sadiq.<br /><br />xalima.snAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-87963545503195066582016-09-22T02:21:00.003-07:002016-09-22T02:26:19.994-07:00En voyage d’études à la ferme kaydara de fimela : Des maires du nord à l’école de l’agriculture écologique et biologique <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://www.lesoleil.sn/media/k2/items/cache/e141c11cbe0238a9dd1b625033089838_L.jpg?t=-62169984000" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://www.lesoleil.sn/media/k2/items/cache/e141c11cbe0238a9dd1b625033089838_L.jpg?t=-62169984000" height="240" width="320" /></a></div>
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Le mouvement citoyen, une organisation de la société civile, a organisé, jeudi et vendredi, un voyage d’études à la ferme-école agro-écologique de Kaydara dans la commune de Fimela à l’intention des acteurs au développement de 10 communes de Saint-Louis, Matam et Louga. Le voyage a permis à ces derniers de partager des expériences sur l’agriculture écologique et biologique.</div>
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Les sous-préfets, les maires, les directeurs des agences régionales de développement (Ard), les organisations communautaires de base, les jeunes des régions de Saint-Louis, Matam et Louga ont séjourné à la ferme-école agro-écologique de Kaydara dans la commune de Fimela, département de Fatick.<br />
Ils ont, pendant deux jours, renforcé leur expérience dans les domaines agro-écologiques dans cette ferme créée qui, depuis 2007, s’investit dans l’agriculture écologique et biologique. Les autorités locales et administratives des régions citées plus haut veulent s’enquérir du travail qui se fait dans cet endroit et partager l’expérience pour mieux les transporter dans leurs localités respectives.<br />
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Fixer les jeunes<br />
Pour Alpha Faye, secrétaire exécutif du mouvement citoyen, les voyages d’études constituent une activité extrêmement importante parce que permettant aux uns et aux autres de gagner de l’expérience. « C’est une expérience extrêmement importante du fait qu’elle porte sur le développement mais également la rénovation des activités agricoles dites écologiques et biologiques », a insisté Alpha Faye. Il a soutenu que c’est une forme d’agriculture qui aide à former des jeunes et les « capaciter » pour qu’ils puissent se lancer dans leurs activités avec l’appui technique de l’Etat et des collectivités locales. Lesquelles sont invitées à mettre à leur disposition des terres. <br />
Notre interlocuteur est d’avis qu’aujourd’hui le contexte s’y prête avec l’Acte 3 de la décentralisation qui constitue un axe sur lequel on doit s’appuyer pour régler les problèmes de développement, de sous-emploi des jeunes, de la population d’une manière générale. « Il faut valoriser l’agriculture pour fixer les jeunes dans nos terroirs », a-t-il signifié.<br />
« Pour toutes ces raisons et d’autres, nous avons jugé utile d’organiser ce voyage d’études avec les acteurs clés qui portent le développement territorial dans les 10 communes des régions du Nord qui sont des partenaires du mouvement citoyen sans lesquels on ne peut pas impulser le développement territorial », a-t-il dit. Momar Ndiaye, maire de la commune de Dahra, a magnifié la coopération entre le Sénégal et le Luxembourg avant de saluer l’initiative du mouvement citoyen organisateur de ce voyage d’études à la ferme-école de Kaydara. « Nous allons mettre cette expérience au profit de nos populations dans le cadre de l’autosuffisance alimentaire », a-t-il soutenu. Il a proposé au maire de s’inspirer de ce qu’ils ont vu sur le terrain en développant une agriculture biologique dans leurs collectivités locales.<br />
Pour la première adjointe au maire d’Aéré-Lao, Mme Khadidiatou Talla, seule l’agriculture peut développer un pays comme le Sénégal. Elle a promis de multiplier cette expérience qui permet de lutter contre la pauvreté et les changements climatiques. Le maire de Fimela, Karim Sène, s’est félicité de cette rencontre.<br />
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Les collectivités locales sont les premiers partenaires de la ferme<br />
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La ferme-école de Kaydara créée en 2006 est située à quelques kilomètres de Fimela (département de Fatick). Elle a ouvert ses portes en 2007. La ferme a reçu la visite du président de la République, Macky Sall, au mois de juillet dernier. Le directeur de la ferme-école agro-écologique de Kaydara, Gora Ndiaye, a indiqué que l’objectif de la ferme-école est de développer l’agriculture biologique et écologique au Sénégal. Selon lui, l’agriculture conventionnelle a montré ses limites à cause de la désertification et des changements climatiques. « Nous avons créé cette ferme-école pour conscientiser les collectivités locales pour qu’elles donnent les terres aux jeunes afin qu’ils développent dans leurs terroirs une agriculture biologique », a-t-il soutenu. Gora Ndiaye a rappelé que quatre promotions de jeunes sont formées dans cette ferme-école dont deux viennent des communes de Fimela et de Tassette. « Les collectivités locales sont nos premiers partenaires, parce que nous les accompagnons dans leur politique de développement », a-t-il indiqué. <br />
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Oumar Ng. BA<br />
Le soleilAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-42880719069618301342016-09-22T02:18:00.002-07:002016-09-22T02:18:14.044-07:00UNE CONVENTION EN GESTATION ENTRE L’ISRA ET L’UADBUn séminaire sur la programmation scientifique et budgétisation des activités 2017 de l’Institut sénégalais de recherches agronomiques (Isra) se déroule du 19 au 24 septembre 2017 à l’université Alioune Diop de Bambey. Il s’agit, selon le Directeur scientifique de l’Isra Elhadji Traoré, de réfléchir sur les activités qui seront déroulées en 2017 sur les plans technique, scientifique et financier. Il s’agit en outre de baliser la voie vers une convention entre l’Isra et l’Uadb.<br />
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Le Préfet de Bambey, Moustapha Ndiaye, a procédé ce lundi 19 septembre 2016 à l’ouverture du séminaire sur la programmation et la budgétisation des activités de l’Institut sénégalais de recherches agronomiques pour l’année 2017. Le Directeur scientifique de l’Isra explique : « nous œuvrons dans 5 domaines de recherche majeurs : les conditions végétales relatives a la création variétale, les semences, les différentes techniques de culture, post récolte, le commerce de tout ce qui est production végétale. Nous évoluons dans les domaines de production animale et de sante animale, de production halieutique, la pèche et l’aquaculture, de la production forestière, la sociologie et la politique agricole ».<br />
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Revenant sur le sens de la rencontre, il a souligné que nous sommes là aujourd’hui pour parler des acquis de recherche pour l’année 2017, en ce qui concerne les productions végétales. Il s’agit, selon Elhadj Dramé, des cérémonies de programmation qui ont été tenues dans tous les centres pour cette semaine. Nous allons passer en revue toutes les activités de recherche qui ont été retenues, soit des activités clôturées, des activités reconduites ou des activités nouvelles pour nous assurer de la pertinence de ses activités sur le plan protocole, sur le plan résultat attendu et sur le plan agenda mais aussi voir si les financements prévus sont disponibles, sont mobilisables et qui puissent servir de faire l’activité comme elle se doit ».<br />
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Le Préfet de Bambey qui présidait la rencontre a insisté sur la pertinence scientifique pour savoir si lees activités sont en cohérence avec le vœu des populations sénégalaises et la politique agricole du Sénégal. Pour autant, il a tenu à rappeler l’importance que le chef de l’Etat et le gouvernement du Sénégal accordent à la recherche pour développer l’agriculture sénégalaise. « Nous avons insisté sur la nécessaire synergie a opérer entre tous les segments de la recherche, l’université Alioune Diop, l’Isra, le Centre national de recherche agronomique et l’ensemble des centres de recherche au défi qui se pose à l’agriculture sénégalaise, le premier moteur de croissance du développement et l’axe 1 du Programme Sénégal émergent », a martelé le Préfet. Avant de dire toute la disponibilité de l’administration à travailler avec les chercheurs pour lever les handicaps et les contraintes auxquelles se confrontent nos agriculteurs et stimuler et améliorer les systèmes de production.<br />
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Le Pr Lamine Guèye, Recteur de l’université Alioune Diop de Bambey, a déclaré pour sa part : « nos attentes, c’est une réflexion poussée sur l’amélioration de l’agriculture sénégalaise, de l’élevage et des produits forestiers. Et ceci en passant par la recherche, une recherche pertinente. Nous attendons de cet atelier des recommandations sur les innovations qu’il faut mener ». Et de poursuivre : « nous sommes optimistes que d’ici la semaine, cet atelier aboutira a des résultats pertinents pour permettre de dérouler ces activités en 2017 et de donner des recherches servant de décisions pour améliorer l’agriculture sénégalaise ». Dans la foulée, le Pr Guèye a évoqué l’idée d’une convention avec l’Isra. « Nous avons discuté avec le Directeur Général. Et cela, c’est pour formaliser ce que nous faisons tous les jours. Depuis plusieurs années, l’Uadb travaille avec l’Isra dans le cadre de la recherche agricole, dans le domaine du développement rural et dans le domaine de la santé communautaire et nous souhaitons d’ici quelques mois la formaliser ».Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-88402132245150199132016-07-26T04:09:00.000-07:002016-07-26T04:09:16.298-07:00PAPA ABDOULAYE SECK PRÔNE UNE AGRICULTURE MÉCANISÉE POUR ASSURER L’AUTOSUFFISANCE ALIMENTAIRE- L’agriculture sénégalaise doit se transformer rapidement pour être dans une dynamique d’excellence, a affirmé vendredi le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Papa Abdoulaye Seck, rappelant qu’à terme l’objectif est d’arriver à l’autosuffisance alimentaire.<br />
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Il présidait une cérémonie de remise de matériels agricoles, dont 25 tracteurs Fergusson, à des producteur de la région de Louga, appuyés pour certains par l’ONG "Association de Bienfaisance Islamique" (ABI), qui a assuré une partie du financement.<br />
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La transformation du secteur agricole est la seule voie pour assurer aux producteurs des revenus stables, a déclaré Pape Abdoulaye Seck, qui veut faire de l’agriculture un véritable métier et non une activité à laquelle on s’adonne après avoir partout échoué.<br />
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Selon lui, c’est dans ce cadre que s’inscrit cette cérémonie. Il a signalé que le gouvernement ambitionne d’élever le niveau de mécanisation de l’agriculture sénégalaise, avec l’injection de 85 milliards de francs CFA pour l’achat de tracteurs d’ici trois ans.<br />
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Dans le même temps, 5 milliards de francs CFA seront consacrés au petit matériel attelé, a promis le ministre, qui se félicite des résultats obtenus par le programme de renouvellement des semences. Pour un objectif de 40.000 tonnes cette année, 50.000 tonnes de semences ont été obtenues, a-t-il précisé.<br />
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Il a beaucoup insisté sur les dispositions prises en étroite collaboration avec les autorités administratives locales, pour parvenir à une distribution transparente des tracteurs suivant des critères bien définis. Les producteurs qui n’ont jamais reçu autant de matériels ont bénéficié d’une subvention de 60 pour cent sur les tracteurs et de 70 pour cent pour le matériel attelé, selon le ministre, qui invite à une bonne utilisation de ces engins.<br />
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Le président de l’ONG ABI, Mactar Fall, a affiché sa volonté d’accompagner la politique de développement menée par l’Etat, n’attendant que d’être sollicité pour agir au grand bénéfice des populations. L’ONG qui a aidé certains producteurs dans l’acquisition de ces tracteurs, s’illustre déjà dans beaucoup d’activités à caractère social, avec notamment l’octroi de pécules trimestriels à des orphelins.<br />
AMD/ASG<br />
APSAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-60471927550295956912016-07-08T09:14:00.002-07:002016-07-08T09:14:53.612-07:00Malgré les difficultés, l'agriculture sénégalaise attire toujours plus de jeune<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhT55TNXBzvndCbYtT4aojZSixAJDkyX9AoG6EZaNuimXboybzcmA56ghQSTtnJv06zsYxk1I5S629TZM_zmoaMTWTAUDLRNIEVajZjxBgYenr9lLMQOAocGDW_SmOe2ONcmFg3IYezmvA/s1600/12688385_487848131414979_3502342398148243155_n.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhT55TNXBzvndCbYtT4aojZSixAJDkyX9AoG6EZaNuimXboybzcmA56ghQSTtnJv06zsYxk1I5S629TZM_zmoaMTWTAUDLRNIEVajZjxBgYenr9lLMQOAocGDW_SmOe2ONcmFg3IYezmvA/s640/12688385_487848131414979_3502342398148243155_n.jpg" width="640" /></a></div>
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Depuis plus d’une décennie, certains observateurs attentifs à l’évolution de l’agriculture sénégalaise constatent l’émergence d’un fait nouveau. D’une manière singulière, des exploitations à la taille utilisant les nouvelles pratiques agricoles se situent sur l’ensemble du territoire sénégalais, et mettant en œuvre des techniques, des systèmes de production, des circuits de commercialisation qui peuvent surprendre par leur originalité. Cela est le fait de quelques jeunes acteurs marginaux, voire isolés. </div>
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Les profils ont changé, les producteurs sont de moins en moins des enfants d'agriculteurs. Ils ont des parents infirmiers, employés de banque, commerçants ou enseignants, et sortent parfois d'un bac littéraire ou d'un cursus en électronique. Ce qui les pousse, malgré les difficultés du secteur, c'est la passion qu'ils entretiennent, parfois depuis tout petit pour l'agriculture. Ça fait un peu peur, mais les jeunes le sont pas, c'est une passion. Ils veulent servir à quelque chose dans la société « Produire pour nourrir le Sénégal ».</div>
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Le métier d'agriculteur n'est plus celui d'il y a 50 ans, il devient pluridisciplinaire, celui d'un chef d'entreprise. Il faut désormais tout maîtriser, de la production à la stratégie commerciale. Le secteur s’est adapté, les pratiques d'utilisation de certaines machines agricoles ont cédé une place à l’informatique, si on connait un peu de l’analyse du bilan des comptables, on est capable de calculer une marge pour savoir s'il est rentable ou non de faire quelque chose. </div>
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<b>L’innovation des jeunes : un concept pour nourrir le débat ?</b></div>
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Dans l’imaginaire des sénégalais, l’agriculture ne correspond guère aux aspirations des jeunes intellectuelles et n’offre pas de perspectives attractives. Il ressort donc la nécessité de changer cette perception d’image sur les jeunes. Les initiatives des jeunes sénégalais se multiplient. Elles empruntent des voies très diverses : le « Yessal Agri-hub » par exemple, se conforme à l’apport d’une touche innovante dans le secteur de l’agriculture au Sénégal, où les jeunes deviennent les protagonistes du développement agricole à travers la créativité et l’innovation numérique, tout comme le YPARD Sénégal, la plateforme Mlouma, ou encore Agri-tool…etc. De même l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC) par les jeunes est en train de moderniser le secteur agricole tout en fournissant de nouvelles opportunités.</div>
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Il semble qu’il existe un réel écart entre cette minorité créative et la masse des exploitants traditionnels suivie en totalité par nos politiques.</div>
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En tenant compte que les jeunes sénégalais sont largement affectés par les phénomènes de pauvreté et d’exclusion économique et sociale, un feedback durable de la part du peuple et du gouvernement est essentiel pour améliorer les perspectives vers une sécurité économique et alimentaire pérenne. </div>
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Comme fondamentale, il est important pour l’Etat de prendre l’engagement pour le renouvellement des générations en agriculture, pour les filières au Sénégal, et pour la promotion du métier de l’entreprise agricole.</div>
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En outre, il est important que le ministère de l’Agriculture mette l’accent sur l’appui à l’entreprenariat des jeunes avec le crédit et l’assistance technique pour le montage de l’entreprise agricoles et favoriser aussi dans les écoles primaires la création de micro-jardinage pour inciter le métier à bas âge. Un projet d’appui aux jeunes de la passion qu’importe leur cursus scolaire serait vraiment favorable pour faciliter les initiatives et renforcer les connaissances de bases dans l’agriculture afin d’être le plus complet possible. </div>
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Thierno NGAMB<br />
Tel: 771564808/ 766091052<br />
Email: thiernongamb18safar@yahoo.fr<br />
thiernoagronome@gmail.com<br />
<br />Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-33280969573589222792016-07-08T05:32:00.001-07:002016-07-08T05:32:28.458-07:00Qualité de la mangue : Le Sénégal en tête des pays de la Cedeao avec un niveau de conformité de 99 %Les exportations de mangues ont fait des bonds importants entre 1998 et 2015. De 288 tonnes, elles sont passées à 16.689 tonnes pour une production de 130.000 tonnes. Du point de vue qualité, le Sénégal coiffe les pays de la Cedeao avec un niveau de conformité dépassant les 99ÂÂ %.<br />
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L’atelier du Comité national de lutte contre les mouches des fruits (Cnlmf), consacré au démarrage de la campagne mangue et à l’assemblée générale dudit comité, et qui s’est ouvert, hier, à Saly, a permis de faire l’état des lieux de la lutte et des activités de recherche sur les mouches des fruits, mais aussi de faire le bilan à mi-parcours des exportations. Selon le directeur de la protection des végétaux (Dpv), la filière mangue fait face à une kyrielle de déprédateurs constituant les principales contraintes à sa promotion. Au Sénégal, a rappelé le Dr Émile Victor Coly, la production des mangues représente 63ÂÂ % de la filière fruits et légumes et constitue l’un des piliers les plus importants du Programme de relance et d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (Pracas). Il a souligné que les exportations de mangues ont connu une forte croissance entre 1998 et 2015.<br />
De 288 tonnes, elles sont passées à 16.689 pour une production de 130.000 tonnes, avec une bonne réputation de «ÂÂ l’origine SénégalÂÂ » sur les marchés européens et africains. Abondant dans le même sens, Abdoulaye Ndiaye, chef de la Division législation phytosanitaire et quarantaine des plants à la Dpv, a soutenu que beaucoup d’efforts ont été faits pour le respect des normes. «ÂÂ Il est heureux de constater, a-t-il dit, que les exportations ont augmenté, comparées aux années de références, malgré la présence des mouches de fruits depuis 2004ÂÂ ». M. Ndiaye s’est félicité que le Sénégal, du point de vue qualité, soit en tête des pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) avec un niveau de conformité dépassant les 99ÂÂ %.<br />
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Un module sûr de réduction de la pauvreté<br />
Le président de la Coopérative des acteurs et du Comité de lutte contre la mouche des fruits a dit toute sa satisfaction de l’accompagnement de l’État depuis la manifestation du fléau. Selon Cheikh Ngane, le Sénégal est en tête sur le plan de l’organisation ; ce qui lui a valu d’avoir mis en place très tôt sa filière mangue, laquelle est, aujourd’hui, fédératrice pour la Cedeao parce qu’existant dans 10 des 15 pays de cette communauté. Revenant sur les exportations, M. Ngane a relevé que la filière mangue est marquée par une diversité de producteurs. A son avis, cette filière est un module et un vecteur sûr de réduction de la pauvreté et de création d’emplois. En outre, il a souhaité que cette filière soit consolidée et perpétuée afin de mener le maximum de producteurs vers l’amélioration de la qualité. Selon lui, le Sénégal est derrière la Côte d’Ivoire en termes de volume, mais premier en termes de qualité. Par rapport à la mouche des fruits, CheikhÂÂ Ngane a indiqué que c’est un handicap majeur à éradiquer. Il a révélé que le moindre kilogramme de mangue du Sénégal n’est exporté vers les États-Unis à cause de la mouche des fruits. Le challenge, selon lui, c’est d’éliminer ces ravageurs pour pouvoir exporter vers les États-Unis.<br />
Le SoleilAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-85212072193607465752016-05-31T02:36:00.000-07:002016-05-31T02:36:00.487-07:00Louga : les premiers résultats du PSE sont satisfaisants, selon le ministre de l’agriculture et de l’équipement rural<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHHiyy7WwO0dOSOs-C_kyRc3H4PjrQLW0AZPr1KepnNw9M6Ig1V3hJuQvxdwwXCpv3Xs_0zLwhY02YUAR0XwggLYXQKYqMGHDLu2q0ULmh8xncOxYhtcsHskwP9xyhMDoo8qkfHfPCgwY/s1600/pape_adoulaye_seck-696x487.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHHiyy7WwO0dOSOs-C_kyRc3H4PjrQLW0AZPr1KepnNw9M6Ig1V3hJuQvxdwwXCpv3Xs_0zLwhY02YUAR0XwggLYXQKYqMGHDLu2q0ULmh8xncOxYhtcsHskwP9xyhMDoo8qkfHfPCgwY/s1600/pape_adoulaye_seck-696x487.jpg" /></a></div>
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Les premiers à applaudir le PSE sont les habitants du village de Kébé-Ndeuth. Ils ont bénéficié de l’installation de fermes agricoles du programme d’appui à la sécurité alimentaire Lou-Ma-Kaf (PASA) qui fait partie des projets phares du Plan Sénégal Émergent PSE.</div>
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La localité dispose d’une superficie de 15 hectares qui concentrent 4 villages avec au total 45 producteurs. Les habitants du village de Kébé-Ndeuth ont ainsi reçu la visite du docteur Papa Abdoulaye Seck, ministre de l’agriculture et de l’équipement rural. Il a fait ce déplacement pour mieux mettre en exergue les avantages des fermes agricoles qui changent les conditions alimentaires des bénéficiaires.</div>
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Tellement satisfait des résultats de ce projet, le chef du village, le président de l’union des producteurs Babacar Kébé, la présidente du GIE des productrices Mme Aida Lo et le maire de Nguidila Idrssa Tall ont, à l’intermédiaire du ministre, remercié le président de la république qui a initié ce projet dans le PSE. En fait, l’émergence de ces fermes agricoles est la preuve vivante des orientations économiques du (PSE).</div>
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Sur le terrain, le ministre a affirmé être satisfait du résultat qu’il a constaté et soutient que le développement du Sénégal est basé sur l’agriculture donc il faut obligatoirement l’exploiter.</div>
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De ce fait, les producteurs doivent être les acteurs du développement du Sénégal avec la modernisation (nouvelles technologies) de l’agriculture de même que l’élevage.</div>
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Il a même insisté sur l’implication des jeunes dans le milieu. Cela permettra ainsi de lutter contre l’exode rural surtout que dans la région de Louga il y a un important flux migratoire.</div>
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Le Docteur Seck va quitter ce dimanche cette région pour ensuite se rendre à Matam et Saint-Louis suivant le même objectif.</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-28215118003817980032016-05-06T09:19:00.000-07:002016-05-06T09:19:59.006-07:00La BAD mettra l'accent sur l'agriculture au Sénégal<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7OHh_H-nrkGj8IicFqc8530qAp9r9359qk169_Z57pME6PlG8YOhVVKN1DCzqrkRD_1_NCxpvzw-n6H_i5LFoJ7UpQyYP702BP3OkZCARkxWUg3OIWrXMsD34Fe08OBI73i1rPoP63Ls/s1600/p1000353_0.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7OHh_H-nrkGj8IicFqc8530qAp9r9359qk169_Z57pME6PlG8YOhVVKN1DCzqrkRD_1_NCxpvzw-n6H_i5LFoJ7UpQyYP702BP3OkZCARkxWUg3OIWrXMsD34Fe08OBI73i1rPoP63Ls/s320/p1000353_0.jpg" width="320" /></a></div>
La Banque africaine de développement (BAD) soutiendra plus précisément la filière agricole au Sénégal, a indiqué hier le président de la BAD, Akinwumi Adesina, à l'occasion de la visite au siège de la banque à Abidjan d'une délégation ministérielle du Sénégal conduite par Amadou Ba, ministre de l’Economie, des Finances et du Plan. La visite avait pour objet le renforcement de leur coopération.<br /><br />Akinwumi Adesina a souligné que le soutien de la BAD se fera à travers une approche intégrée des pôles de développement agro-industriels, la promotion de l’emploi et de l’entreprenariat agricole, l’amélioration du cadre de vie en milieu rural, l’accès à l’eau et à l’électricité, la desserte intérieure et la promotion de l’intégration régionale.<br /><br />Le portefeuille actif de la BAD au Sénégal compte 23 opérations pour un montant global de $ 727,46 millions (€ 633,5 millions). Depuis octobre 1972, début des opérations de la BAD au Sénégal, la BAD a approuvé environ 94 opérations pour un montant cumulé de près de $ 1,97 milliard (€ 1,7 milliard), soit plus de FCFA 1 200 milliards.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-71585827141417442462016-05-06T09:18:00.001-07:002016-05-06T09:18:13.542-07:00L’Afrique appelée à des réformes fiscales pour augmenter la productivité agricoleL’Afrique doit réformer son économie pour faire face à plusieurs défis, dont celui lié à l’amélioration de la productivité dans le secteur agricole, c’est dans cette optique que l’ambassadeur du NEPAD au Sénégal, Amadou Diallo, a suggéré l’adoption de réformes fiscales pour soutenir la croissance sur le continent.<br /><br />Ce lundi à Dakar, à l’ouverture de la première séance de la Plateforme de facilitation des investissements agricoles au Sénégal, il a invité les pays membres du NEPAD (Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique) «à des réformes fiscales» pouvant drainer les investissements et contribuer ainsi à « accroître la productivité agricole et à booster la croissance » en Afrique.<br /><br />Il a de même exhorté les pays africains à respecter l’engagement de Malabo consistant à allouer 10% des budgets à l’agriculture car, selon lui, malgré les engagements, ce «vœu tarde à se concrétiser».<br /><br />Ce forum sur l’investissement dans le secteur agricole au Sénégal, qui rassemble les financiers et partenaires de développement, y compris les banques commerciales, des institutions de financement du développement, les institutions de la micro-finance, les banques agricoles et les fonds d’investissement, va débattre des approches en vue de mobiliser les fonds nécessaires pour soutenir la production agricole sur le continent.<br /><br />Selon le gouvernement sénégalais, la rencontre vise à faciliter et promouvoir un dialogue public-privé afin d’améliorer les politiques de la finance agricole, fournir des opportunités de financements aux PME et créer une communauté de pratique nationale public-privé dans le secteur agricole.<br /><br />Par ailleurs, le Sénégal, la Zambie, l’Ouganda, le Ghana et le Cameroun, ont été les 5 pays choisis par le NEPAD pour abriter la séance inaugurale de la Plateforme de facilitation des investissements agricoles.<br /><br />Pour Rappel, le Nepad, est une promesse faite par des dirigeants africains, d’éradiquer la pauvreté, en plaçant le continent sur la voie d’une croissance et d’un développement durable.<div>
Source Sahel Intelligence<br /><div>
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Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-27088741406586641452016-05-02T01:40:00.001-07:002016-05-02T01:40:36.274-07:00Plus loin avec.. Ibrahima Seck, coordonnateur de la Fédération nationale pour l’agriculture biologique (Fenab) : «Le gouvernement devrait nous allouer des domaines agricoles communautaires»<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://www.lequotidien.sn/media/k2/items/cache/84156960de889d56b715ab8ca5afe13e_XL.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://www.lequotidien.sn/media/k2/items/cache/84156960de889d56b715ab8ca5afe13e_XL.jpg" height="424" width="640" /></a></div>
La Fenab est toujours en train de sensibiliser les autorités et les populations pour que le gouvernement sénégalais puisse adopter l’agriculture biologique dans les pratiques agricoles. Mais, on a l’impression que vous prêchez dans le désert ? <br />En tout cas, la volonté politique commence à se manifester. Nous avons vu que le gouvernement, d’abord, a pris l’agriculture comme levier pour le développement économique du Sénégal. C’est un très grand pas. C’est une très bonne vision. Ensuite, le gouvernement, avec la Fao, a organisé tout récemment, une conférence africaine sur l’agro-écologie. Ce qui constitue une avancée significative vers une transition écologique du Sénégal pour un développement durable. Aussi le gouvernement nous a-t-il promis de subventionner les bio pesticides et les bio fertilisants. Cela veut dire qu’aujourd’hui donc nous avons espoir que le gouvernement va nous accompagner pour le développement de l’agriculture écologique biologique au Sénégal.<br /><br /><b>Au même moment le gouvernement déroule son programme sur les Domaines agricoles communautaires. Que pensez-vous de ces Dac ?</b><br />Nous pensons que le gouvernement pourrait ou même devrait nous allouer des Domaines agricoles communautaires (Dac) où nous allons former les jeunes qui y seront pour pratiquer l’Aeb. Ce serait vraiment des écoles de formation en matière d’Aeb. C’est extrêmement important. Et même nous pouvons dire que là où on pense qu’il n’est pas possible de mettre en application l’Aeb, par exemple, la vallée du fleuve ou les aménagements ont détruit tout, nous disons qu’il est possible d’avoir des arbres qui s’adaptent comme le cocotier et d’autres. En même temps dans les rizières, nous pouvons avoir du poisson tout comme nous pouvons aussi élever des canards. C’est-à-dire une biodiversité de production allant dans le sens de la durabilité de l’agriculture. Nous pensons que le gouvernement commence à faire des pas en avant et nous souhaitons l’accompagner pour une véritable volonté politique afin que l’Aeb soit intégrée dans les politiques agricoles et dans les plans d’investissement mais aussi dans les projets et programmes du gouvernement.<br /><br /><b>Où en êtes-vous par rapport à votre sensibilisation ?</b><br />Nous continuons la sensibilisation. La Fenab a effectué des tournées au niveau des communautés de base dans les zones agro-écologiques pour mieux vulgariser ce programme afin que tout le monde se mette debout. Pour dire que les changements climatiques, ce n’est pas seulement la responsabilité du gouvernement ni des partenaires au développement mais la responsabilité de tout un chacun. Nous tous devons nous y atteler. Même ne pas allumer une lampe électrique, c’est déjà un pas. Donc aller vers les énergies renouvelables comme le soleil mais aussi faire de l’agriculture de conservation une agriculture durable qui sauvegarde les ressources naturelles et qui s’ouvre aux générations futures. Nous allons continuer à travailler avec les communautés de base pour dérouler ce programme à partir de la base vers le haut.<br /><a href="mailto:nfniang@lequotidien.sn">nfniang@lequotidien.sn</a>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-88363804047878984912016-04-21T02:33:00.000-07:002016-04-21T02:33:55.622-07:00DES INVESTISSEMENTS CHINOIS PROMIS À LA FILIÈRE ARACHIDIÈRE SÉNÉGALAISE Des opérateurs économiques chinois, en visite de travail au Sénégal, ont dit vouloir investir dans la filière arachidière sénégalaise, dans le but de booster à terme le commerce et l’investissement entre les deux pays.<br /><br />Invités de l’Union nationale des Chambres de commerce, d’industrie et d’agriculture du Sénégal (UNCCCIAS), ces opérateurs chinois, par la voix de Bian Zhenhu, disent miser sur le savoir-faire chinois, en termes d’appui technique et d’amélioration des semences d’arachide, pour développer les exportations arachidières sénégalaises vers la Chine.<br /> <br />Ils ont fait part leurs ambitions lundi, au cours d’un déjeuner offert en leur honneur par le président de l’UNCCCIAS, Serigne Mboup, en compagnie des représentants des chambres régionales. <br /> <br />Les opérateurs chinois ont par ailleurs abordé, avec la partie sénégalaise, diverses autres questions, dont celles de l’acquisition de terres cultivables et de la recherche de "fournisseurs sénégalais fiables".<br /> <br />Ils ont également souhaité faire "plus ample connaissance" avec les politiques, lois et réglementations en matière d’exploitation et d’investissement dans la filière arachidière.<br /> <br />La partie chinoise a en outre manifesté son intérêt pour la filière sésame et des relations de partenariat dans le secteur hôtelier.<br /> <br />Durant leur séjour, ils ont visité des unités de conditionnement de l’arachide dans la région de Kaolack, un des basins arachidier du Sénégal.<br /> <br />BS/BK<div>
Source APS</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-29661235002765060952016-04-18T01:40:00.003-07:002016-04-18T01:40:52.242-07:00LES CONDITIONS D’UNE AGRICULTURE NOURRICIÈREL’identification des enjeux, défis et contraintes liés à la commercialisation des produits agricoles et l’amélioration du système de régulation des marchés demeurent une nécessité pour faire de l’agriculture un levier de la sécurité alimentaire, a estimé Massata Niang, conseiller technique au ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural.<br /><br />M. Niang a lancé cette affirmation en présidant, vendredi, à Dakar, un panel intitulé : ‘’Commercialisation des produits horticoles : enjeux, défis et perspectives dans le cadre du Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture au Sénégal (PRACAS)’’.<br /><br />Il estime qu’il faut trouver un mécanisme d’harmonisation et de mutualisation des stratégies et ressources en vue d’améliorer la commercialisation des produits agricoles. <br />Le panel sur la commercialisation des produits horticoles est organisé sous l’égide du Programme d’aménagement et de développement économique des Niayes (PADEN) , lors de la journée qui lui est dédiée, à la Foire internationale de l’agriculture et des ressources animales (FIARA).<br /><br />Le PADEN appuie les producteurs et leurs organisations relativement aux produits de qualité et à la formalisation des transactions commerciales avec les commerçants importateurs potentiels.<br /><br />‘’Les résultats de cette rencontre contribueront à l’atteinte des objectifs du PRACAS, notamment l’émergence d’un entreprenariat agricole et rural fondé sur une énergie intelligente entre l’agro business et la culture familiale’’, a affirmé Massata Niang.<br /><br />A cet effet, il a souligné que beaucoup d’efforts ont été faits dans le cadre de la production.<br /><br />De 2000 à 2016, la production horticole a beaucoup augmenté. Mais, beaucoup de choses doivent être améliorées, notamment la mise en place d’infrastructures de stockage, qui permettront aux producteurs d’écouler leurs produits et d’éviter ainsi leur bradage, a estimé Massata Niang.<br /><br />Les propositions qui seront issues des échanges permettront de disposer de résultats devant aider les producteurs à vivre de la sueur de leur front mais aussi aux consommateurs d’accéder à des produits de qualité dans de bonnes conditions.<br />Source: APS<br />SBS/ASGAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-77170940572832190392016-04-07T02:19:00.003-07:002016-04-07T02:19:53.390-07:00LE PADAER REVOLUTIONNE L’EMBALLAGE<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh8b5AuYnEK3md1dSRmuw6u22oRmf7fcLQetDRd-tQNI9FiMJ5v3XcO3-tiun2dKWaLjSnmTs0lTISdxXXA_fvHmpVrfd4uBBJCfjVToAkX3qgtDmghP4TeLcoQBCp-EI0HPpSl9dw-oxE/s1600/bouye_poudre.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="358" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh8b5AuYnEK3md1dSRmuw6u22oRmf7fcLQetDRd-tQNI9FiMJ5v3XcO3-tiun2dKWaLjSnmTs0lTISdxXXA_fvHmpVrfd4uBBJCfjVToAkX3qgtDmghP4TeLcoQBCp-EI0HPpSl9dw-oxE/s640/bouye_poudre.jpg" width="640" /></a></div>
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Pour réussir une agriculture porteuse d’un développement rural durable, le programme d’appui au développement agricole et à l’entreprenariat rural (PADAER) est en train aujourd’hui de révolutionner, selon sa représentante à la 17e édition de la FIARA à Dakar, Mme Khanata Sarah Ngan, la transformation et l’emballage des produits agricoles dans les régions de Tambacounda, Kolda, Kédougou et Matam où il est déployé depuis son entrée en vigueur le 12 octobre 2011. Il a ainsi réussi à renforcer, les capacités des membres de plus de 975 organisations de producteurs et à contribuer à réduire la pauvreté rurale, mais aussi à stimuler la croissance économique.</div>
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Logé au beau milieu du village de la 17e édition de la FIARA au CICES, à Dakar, le stand du programme d’appui au développement agricole et à l’entreprenariat rural (PADAER) présente des produits emballés qui n’envient rien à ce qui se fait de mieux dans le monde. Des produits locaux de chez nous, les jus de tamarin, de gingembre, de bissap, de pain de singe, entre autres, sont soigneusement mis en bouteille pour résister au temps. </div>
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De beaux sachets en papiers sont exposés, présentant des qualités différentes de couscous, de maïs, de sorgho, de fonio, etc., sont posés sur les étagères, à côté des bouteilles de sirop. Toute cette panoplie de produits bien emballés et traités avec l’appui du programme d’appui au développement agricole et à l’entreprenariat rural (PADAER). </div>
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«Le PADAER qui est couvert par le ministère de l’agriculture et de l’équipement rural est un programme qui permet de contribuer à la réduction de la pauvreté rurale et stimuler la croissance économique dans les régions de Kédougou, Kolda, Matam et Tambacounda », a signalé Mme Khanata Sarah Ngan, précisant au passage que cette mission passera inévitablement par l’amélioration durable de la sécurité alimentaire et des revenus des petits producteurs, en l’occurrence les agriculteurs et les éleveurs. Mais aussi à créer des emplois durables pour les ruraux, en particulier les jeunes et les femmes. Les antennes régionales du projet ont la mission d’assurer la formation, le suivi de l’hygiène et de la qualité, le conditionnement jusqu’à la commercialisation.</div>
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A l’exemple des produits qui sont exposés à la foire. Bana Gassama, originaire de Kolda est témoin de tout ce processus qui a abouti à ces résultats. Exposant des sirops de tamarin, de bissap, de gingembre, bien conservés dans des bouteilles, du couscous de fonio, de mil et des granulés de bissap, de tamarin, de bouye (pain de singe) et du miel, elle témoigne que le PADAER les a aidées à gagner la bataille de la modernisation de leur secteur de production. «Nous faisons dans la transformation de produits naturels de chez nous. Nous n’avons pas assez de difficultés grâce au programme d’appui au développement agricole et à l’entreprenariat rural (PADAER) et aux gens de Bio essence qui nous ont pris en charge et formées. </div>
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C’est grâce à eux que nous avons obtenu ces types d’emballage», a-t-elle laissé entendre. Cette expérience lui a permis de bien tirer profit de son activité. «Je vends les bouteilles de sirop de gingembre à 2500 FCFA. Les sachets d’un kilogramme de fonio coûtent 2000 FCFA, les sachets de 500 grammes sont vendus à 1000 FCFA. Nous avions été invitées à une foire en France mais tous nos produits étaient épuisés. Nous n’avons pas de difficultés pour la conservation car nous disposons de frigos. Nos produits peuvent durer plus de deux ans même sans être périmés», témoigne-t-elle. </div>
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Le PADAER, qui s’achève le 12 octobre 2017 avec une possibilité de rallonge, est financé à hauteur de 22,40 milliards de francs CFA par l’Etat du Sénégal, le Fonds international de développement agricole (FIDA) et le fonds fiduciaire avec mécanisme de cofinancement espagnol pour la sécurité alimentaire et une contribution de 0,31 milliard de francs CFA des bénéficiaires.</div>
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Source Sud online</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-58042914715094929822016-04-01T07:56:00.000-07:002016-04-01T07:56:10.457-07:00FIARA 2016 L’ASEPEX accompagne 8 entreprises sénégalaises<div style="text-align: justify;">
L’Agence Sénégalaise de Promotion des Exportations (ASEPEX) organise la participation du Sénégal, à la 17ème édition de la Foire Internationale de l’Agriculture et des Ressources Animales (FIARA) qui se tient du 29 mars au 18 avril 2016, au CICES, avec la participation de plus de 200 exposants d’horizons divers. </div>
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La Foire Internationale de l’Agriculture et des Ressources Animales (FIARA) réunit, chaque année, les acteurs du secteur de l’Agriculture et de l’Elevage de la sous-région ouest africaine, pour leur permettre d’échanger et de montrer leur savoir-faire dans ces domaines. En effet, la FIARA est la seule manifestation commerciale annuelle d’envergure internationale, dans le secteur de l’Agriculture et de l’Elevage, qui se tient au Sénégal. Elle a pour objectif de promouvoir le développement et la modernisation du secteur agricole, un secteur phare dans le Plan Sénégal Émergent (PSE). L’édition de cette année s’inscrit dans le cadre des actions du gouvernement du Sénégal pour promouvoir les chaînes de valeurs des céréales locales. À l’image des éditions précédentes, la FIARA 2016 va offrir aux différents partenaires et acteurs du développement agricole et rural du Sénégal et de la sous-région, les opportunités d’échanger sur les innovations techniques, technologiques et commerciales dans les domaines de l’Agriculture et des ressources Animales, des Ressources Naturelles et Agro-industrielles et de l’Artisanat rural. La participation de l’ASEPEX à cette manifestation commerciale traduit la volonté de l’Agence d’accompagner les entreprises du secteur agricole, notamment les PME et les PMI dans la promotion de leurs produits « made in Sénégal » sur le marché local et à l’internationale. L’Agence Sénégalaise de Promotion des Exportations a mis en place, un espace d’exposition aménagé, d’une superficie de 45m2 qui abrite huit (8) entreprises évoluant dans les secteurs de la pêche, des fruits et légumes, des produits agro-industriels, des céréales locales, des plats cuisinés, de l’aviculture, du lait et produits laitiers, des produits de la mer séchés. Pour rappel, lors de l’édition 2015, la FIARA avait enregistré 837 exposants venus de 20 à 25 pays d’Afrique dont le Sénégal et 10 000 visiteurs par jour, en moyenne soit plus de deux millions de visiteurs. </div>
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Source </div>
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Khady Thiam Coly </div>
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Rewmi </div>
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Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-25827982675801499372016-03-31T08:03:00.002-07:002016-03-31T08:03:46.098-07:00LES PAYSANS DEMANDENT A L’ETAT DE CONSACRER 10% DE SON BUDGET A L’AGRICULTURE<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKKCHI0vgQlqoOuqqoDGpuIhKFDdXuyNuEQRVYJkbgB_wKa8DrapNKuZzsmD5aBctA1wAss1TM9WkioD7YDpDBtfv2j_4IxhT1jJqIvbFCIBxTdew2-LOs9SKDQ06R2iw1DzpUhzlDXyA/s1600/fongs_pr_site+%25281%2529.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKKCHI0vgQlqoOuqqoDGpuIhKFDdXuyNuEQRVYJkbgB_wKa8DrapNKuZzsmD5aBctA1wAss1TM9WkioD7YDpDBtfv2j_4IxhT1jJqIvbFCIBxTdew2-LOs9SKDQ06R2iw1DzpUhzlDXyA/s400/fongs_pr_site+%25281%2529.jpg" width="400" /></a></div>
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<span style="font-size: x-large;">L</span>es organisations paysannes et des exploitations familiales ont profité avant-hier, mardi 29 mars, de l’ouverture, au centre international pour le commerce extérieur du Sénégal(CICES), de la foire internationale de l’agriculture et des ressources animales (FIARA) pour «demander à l’Etat de consacrer au moins, 10% de son budget à l’Agriculture». Cette 17ème édition s’inscrit dans le contexte du plan Sénégal émergent(PSE) et a pour thème «le rôle et la place des organisations paysannes et des exploitations familiales».</div>
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L’Etat doit au moins consacrer 10% de son budget à l’Agriculture. C’est en tout cas la demande formuler par les organisations paysannes et des exploitations familiales, mardi 29 mars dernier, à l’occasion de la 17ème édition de la foire internationale de l’agriculture et des ressources animales(FIARA).</div>
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En effet, c’est dans une ambiance festive qu’elle a ouvert ses portes. Danseuses traditionnelles et percussionnistes sont au rendez-vous pour accueillir les hôtes. De nombreux exposants commencent à installer leurs marchandises sous les stands bien aménagés, espérant faire de bonnes affaires durant deux semaines d’échanges. Une forte présence des fédérations non gouvernementales du Sénégal avec action paysanne de la zone agro-écologique de la vallée du fleuve, Saint Louis, des Niayes, du Tambacounda est notée. Les participants sont venus présenter divers produits agricoles. On note aussi la présence des riziers venus présenter aussi les différentes variétés de riz, surtout celui du Sud avec un «espace de commerce » qui leur facilite la commercialisation et gérer les commandes. L’autre attraction de la FIARA est le « pain doolé et viennoiseries». Il s’agit, selon, Amadou Guéye, président de la fédération des boulangers du Sénégal d’un «pain labélisé qui a suivi un circuit jusqu’à donner ce résultat ». Durant toute la Fiara, plusieurs recettes sont présentées avec le laboratoire boulanger installé sous leur stand. Ces producteurs privés sont aussi venus présenter ce projet qui est à 99 % financé par eux. </div>
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A l’intérieur du Cices se trouve le « village de la Fiara », un coin très riche en exposition avec l’affichage de messages un peu partout pour la présentation et la visibilité des produits. Madame Mariama Mané de l’Agence de développement des petites et moyennes entreprises (Adpme) venue représenter la Maison du Karité, dit être satisfaite du déroulement de la foire : « tout a été fait selon les règles de l’art. Mais vu que c’est le premier jour il y a pas une forte affluence, demain peut-être les gens viendront en masse ».Elle dit par conséquent que c’est dû à la fin du mois. </div>
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Cette édition de la foire a vu l’accompagnement des ministères en charge du commerce et de l’énergie. Ainsi, selon le comité d’organisation, cette 17éme édition de la Fiara « va offrir aux différents partenaires et acteurs de développement agricole et rural du Sénégal et de la sous-région des opportunités d’échanger sur les innovations techniques, technologiques et commerciales dans les domaines de l’agriculture, des ressources animalières et agroindustrielles et de l’artisanat rural. </div>
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Notons que la FIARA prendra fin le 18 Avril prochain.</div>
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Source</div>
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Sudoneline</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-67348894184144844882016-03-31T07:39:00.004-07:002016-03-31T07:39:45.011-07:00LA FIARA DÉMONTRE QUE LES SÉNÉGALAIS PRODUISENT ’’MIEUX ET PLUS’’ (MINISTRE)La Foire internationale de l’agriculture et des ressources animales (FIARA) permet aux autorités publiques de comprendre que le Sénégal produit ‘’mieux et plus’’, a soutenu mardi à Dakar, le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Papa Abdoulaye Seck.<br /> <br />’A travers ce que nous avons visité, on peut dire que le Sénégal produit plus et mieux. Il y a une grande diversité des produits, parce que nous avons des produits de qualité et nous avons également des emballages de qualité’’, a-t-il dit.<br />Papa Abdoulaye Seck, le ministre de l’Elevage et des productions animales, Aminata Mbengue Ndiaye et le Secrétaire d’Etat, Moustapha Lô Diatta ont visité des stands de la FIARA qui a démarré mardi après-midi au Centre international du commerce extérieur du Sénégal (CICES).<br />Cette dix-septième édition de la FIARA qui va se tenir jusqu’au 18 avril prochain a pour thème : ’’Rôle et place des organisations paysannes et des exploitations familiales, une contribution pour la mise en œuvre du PSE’’.<br />’’La FIARA en tant que instrument qui jauge la mise en œuvre de notre politique, nous a confirmé que le Sénégal est sur la bonne voie’’, selon M. Seck soulignant que le Sénégal n’a pas ’’une agriculture administrée mais une agriculture libéralisée’’. <br />Cela signifie que l’Etat est un acteur parmi tant d’autres et il faut que chaque acteur joue sa partition pour avoir une agriculture forte, a ajouté le ministre.<br />Le ministre de l’Elevage et des productions animales, Aminata Mbengue Ndiaye, a salué la forte mobilisation des éleveurs de moutons.<br />’’L’élevage des bovins a été plus exposé. Dans le cadre de notre programme d’autosuffisance, nous envisageons d’aider les éleveurs de moutons à déstocker, à nous donner des mâles que nous devons introduire au niveau des troupeaux locaux’’, a-t-elle annoncé.<br /> <br />SDI/OID<div>
Source APS</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-51775020922599054112016-03-24T09:51:00.003-07:002016-03-24T09:51:29.983-07:00La FAO et l’Initiative Prospective Agricole et Rurale (IPAR), organisent le vendredi 25 mars 2016 la 9e édition du cycle de débats « Fenêtre sur l’agriculture ».<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiILLfi6l82n3pBFOdtswo8Zmf2DzFUM4V2GuEaoFcMvITrK_0P6do6muMuefWRBuXTW9aXoLe1LNs4fWxccrNFDGg7VZSv9rsi0C6myK65z8gwu_tODUBioXbo72uJJVXNjkOpm1363sk/s1600/arton12438.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="304" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiILLfi6l82n3pBFOdtswo8Zmf2DzFUM4V2GuEaoFcMvITrK_0P6do6muMuefWRBuXTW9aXoLe1LNs4fWxccrNFDGg7VZSv9rsi0C6myK65z8gwu_tODUBioXbo72uJJVXNjkOpm1363sk/s640/arton12438.jpg" width="640" /></a></div>
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Le thème de cette prochaine édition sera : « Après la COP21, quelles stratégies d’adaptation au changement climatique pour la sécurité alimentaire au Sénégal ? ».</div>
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L’année 2015 fut un tournant important pour la lutte contre le changement climatique dans le monde, particulièrement avec la tenue de la Conférence sur le Climat (COP21), en décembre à Paris.</div>
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L’objectif global de cette rencontre est d’échanger sur les stratégies d’adaptation au changement climatique pour assurer une sécurité alimentaire au Sénégal à la sortie de la COP21.</div>
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Vendredi 25 mars 2016 à 9h à la salle de conférence du Centre d’Information des Nations Unies (CINU), aux Almadies, Dakar.</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-41799656879390554772016-03-24T09:45:00.002-07:002016-03-24T09:46:18.429-07:00L’Usaid consent un financement de 3 milliards de FCFA au SénégalLe lancement du projet d’appui aux politiques agricoles (Papa) s’est tenu ce mardi 22 mars 2016 à Dakar. Un projet qui est financé à hauteur de 6 millions de dollars, soit 3 milliards 600 millions de nos francs par l’Usaid- Sénégal dans le cadre de l’initiative « feed the future » mise en œuvre pour une période de 3 ans (2015-2016) par le Ministère de l’agriculture et de l’équipement rural (Maer), avec l’appui de l’Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (Ifpri) de Michigan State University (Msu) et d’Africalead.<br />
Ce projet vise à relever le niveau des investissements publics et privés dans l’agriculture par la création d’un système performant de formulation de mise en œuvre de suivi des politiques agricoles au sein du Maer. Il vise également à améliorer les capacités nationales en matière de recherche, d’analyse et de communication sur les politiques agricoles, de promouvoir un dialogue inclusif sur les politiques agricoles et leur appropriation par les acteurs.<br />
Le projet a également pour ambition de promouvoir la formulation et la mise en œuvre des politiques agricoles basées sur des preuves, de faciliter la planification, la mise en œuvre et le suivi-évaluation des politiques agricoles et enfin d’ assurer une bonne communication des résultats du projet. « Durant plusieurs décennies, le secteur agricole n’a pas pu atteindre le niveau d’investissement escompté avec toutes les potentialités de l’agriculture sénégalaise, africaine et même mondiale.<br />
Ceci du fait d’un manque d’initiative pour activer des investissements conséquents publics et privés. La vision du président de la République de faire de l’agriculture une priorité est une réponse pertinente à cette préoccupation. C’est dans ce cadre que le ministère a initié ce projet », soutient le Secrétaire général du ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Dr Dogo Seck, représentant du ministère de lAgriculture.<br />
Pour sa part, la directrice de l’Usaid/Sénégal, Lisa Franchette, dira que « l’agriculture joue un rôle très important dans l’économie du Sénégal. Et de ce fait, l’objet global de ce projet c’est le développement d’un secteur agricole compétitif et créateur d’emplois. Et cela nécessite le développement des politiques et réformes adéquates ».<br />
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Sen24heures</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/04240515326008677641noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8607640858514137634.post-8860928563071842322016-03-20T07:23:00.003-07:002016-03-24T09:43:57.321-07:00YPARD Sénégal toujours engagé pour la cause des jeunes du monde agricole<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7nfUpRL9tsmyQ4gS6nc_xSi5sDOK4lQ1W0embGRHRf81M9YjA2_D59qwJBBS3BQciOgb3uDc5OrHKQq94AZaNF3FniFVy8kwBcesJclyFCdRoKNSibduJ44ftsA65qHZ7L9ogTRQ_xSo/s1600/OM_L9345.JPG"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7nfUpRL9tsmyQ4gS6nc_xSi5sDOK4lQ1W0embGRHRf81M9YjA2_D59qwJBBS3BQciOgb3uDc5OrHKQq94AZaNF3FniFVy8kwBcesJclyFCdRoKNSibduJ44ftsA65qHZ7L9ogTRQ_xSo/s640/OM_L9345.JPG" /></a><br />
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Du 16 au 18 mars, à Thiès (Sénégal), s'est tenu un Agri Hackathon pour le lancement du premier Agrihub en Afrique de l'Ouest pour les jeunes agriculteurs. <br />
Dénommé "Yeesal Agri hub", ce projet est mis en œuvre par l’initiative d'un groupe de jeunes, en partenariat avec la coopération allemande (GIZ) et l’ONG italienne LVIA. Son but est de cibler des jeunes entrepreneurs spécialisés dans l’agriculture, l’élevage et la transformation de produits agricoles.<br />
L’objectif était de créer des groupes multidisciplinaires de jeunes afin de permettre aux étudiants, agriculteurs, entrepreneurs de trouver l’ensemble des solutions TIC innovantes face à des problèmes auxquels le monde rural est confronté tous les jours. <br />
YPARD Sénégal en réponse à l’intérêt qu’il accorde aux jeunes générations pour le développement de l’agriculture sénégalaise, a pris part à ce grand évènement pour réitérer son engagement à promouvoir un développement socio-économique durable. <br />
Ce cadre de concertation Yeesal Agri-Hub est en parfaite phase avec l’objectif « Faciliter l’échange d’information et de connaissances parmi les jeunes professionnels à travers différentes disciplines, professions, âges et régions » du <a href="http://www.ypard.net/">YPARD</a> , a rappelé la coordinatrice de YPARD Sénégal Sokhna Rokhaya GAYE qui se prononçait, le vendredi 18 mars, à l’occasion de la journée des partenaires. <br />
Sa création, a-t-elle signalé, est survenue dans un contexte ‘’très’’ difficile marqué par le retrait brutal de l’Etat en matière d’appui et de services en direction du monde rural, la dégradation des pistes de productions, l’appauvrissement des populations rurales, la mise en œuvre des politiques d’ajustement structurel. <br />
Cette capacité d’influence de YPARD Sénégal, selon elle, est obtenue, grâce, aux multiples actions de partage, de formation, de réflexion et de sensibilisation réalisées sur les questions prioritaires, qui interpellent le monde rural, en partenariat avec les membres de Ypard du monde entier. <br />
Pour toutes ces raisons, YPARD Sénégal jouit d’une reconnaissance de la part de tous les acteurs du développement agricole et rural en tant que grande plateforme agricole du Sénégal, Grâce à son action, « encouragés à devenir actifs dans le Sénégal, à diffuser les actualités à propos d’YPARD aux autres professionnels, à encourager les jeunes à se faire entendre dans leurs propres organisations, et à partager leurs points de vues et leurs idées avec d’autres jeunes professionnels de leurs réseaux., » s’est félicité la Coordinatrice.<br />
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Thierno NGAMB</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjawU2N8np05hKDa8RYJnu7ZR7VfhpF0C1H7JT5WyHrr3RmMo0TEHIpjXi3ViTmesbIwa5m-CeuEFxU9fMOwydh2PCOyJpILBfAXYFSnGLx-ojE4_xM2z9xaZFKMHVZRdhZhh7s_oT5E_A/s1600/10477887_903562559724690_2956990207463191614_n.jpg" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em; text-align: right;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjawU2N8np05hKDa8RYJnu7ZR7VfhpF0C1H7JT5WyHrr3RmMo0TEHIpjXi3ViTmesbIwa5m-CeuEFxU9fMOwydh2PCOyJpILBfAXYFSnGLx-ojE4_xM2z9xaZFKMHVZRdhZhh7s_oT5E_A/s320/10477887_903562559724690_2956990207463191614_n.jpg" /></a></div>
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